Je veux établir une équivalence en Belgique
- Pour étudier dans le secondaire
- Pour étudier dans le supérieur
- Pour entamer des études de premier cycle (bachelier)
- Pour entamer des études de 2ème ou 3ème cycle
- Pour travailler
Pour tous ces scénarios, vous trouverez une information très détaillée (procédures, documents à fournir, coûts, calendriers,...) dans la fiche d'info d'Inforjeunes "Equivalence des diplômes étrangers"
A noter : la date butoir du 15 juillet pour déposer votre dossier d'équivalence.
Un site web de référence : le service des équivalences de la Fédération Wallonie Bruxelles
Que faire si j'ai essuyé un refus d'équivalence ou une équivalence restrictive ?
Refus d'équivalence au secondaire
- Présenter les examens du Jury pour obtenir le CE1D, le CE2D ou le CESS
- S'inscrire dans un établissement pour terminer vos études secondaires.
Refus d'équivalence au supérieur
- Présenter l’examen d’entrée organisé par les Universités (à titre d'exemple celui de l'UCLouvain) et les Hautes écoles (organisé seulement dans certaines filières)
- Présenter l’examen d’entrée organisé par les Ecoles de promotion sociale (enseignement à horaire réduit) : la plupart des établissements qui proposents des formations supérieures propose ce mode d'accès.
Equivalence restrictive limitant l’accès à certaines études supérieures
- Présenter les examens du Jury pour obtenir le DAES (Diplôme d’Aptitude à l’Enseignement Supérieur)
- Présenter l’examen d’entrée organisé par les Universités (à titre d'exemple celui de l'UCLouvain) et les Hautes écoles (organisé seulement dans certaines filières)
- Présenter l’examen d’entrée organisé par les Ecoles de promotion sociale (enseignement à horaire réduit) : la plupart des établissements qui proposents des formations supérieures propose ce mode d'accès.
Je veux établir une équivalence à l'étranger
Pour continuer à étudier
- Si vous disposez du diplôme secondaire belge et que vous souhaitez entamer des études supérieures à l'étranger, prenez vos renseignements auprès des organismes publics des pays de destination. Le site d'information ENIC-NARIC vous fournit, pays par pays, la liste des organismes à contacter.
- Si vous disposez déjà d'un diplôme supérieur (bachelier, master,...) et que vous souhaitez le compléter par un cursus de formation dans un autre pays, c'est directement à l'établissement d'enseignement de destination qu'il est conseillé de vous adresser. C'est le plus souvent un jury académique qui déterminera si les diplômes obtenus antérieurement permettent directement l'accès au programme visé, demandent de passer par un programme préparatoire ou ne répondent pas du tout aux exigences requises. Le fait d'avoir suivi un parcours de formation dans des institutions reconnues ou subventionnées par les pouvoirs publics vous sera souvent beaucoup plus favorable que si vous avez étudié dans l'enseignement privé.
Pour travailler
Outre les règles d'accès au marché du travail du pays concerné (voir fiche conseil "vivre une expérience professionnelle à l'étranger"), il faudra également considérer si une équivalence est nécessaire ou pas
- Si la profession est réglementée (c'est à dire protégée, comme par exemple les architectes, médecins ou enseignants,...), attendez-vous à des procédures strictes et parfois longues pouvant parfois impliquer une reprise d'étude partielle ou totale. Ce sont soit les pouvoirs publics, soit les associations professionnelles qui déterminent les conditions. Se référer à ce propos au réseau ENIC-NARIC
- Si la profession est non-réglementée, la reconnaissance relèvera plus facilement de l'employeur directement. Celui-ci aura parfois tendance à se tourner vers les établissements d'enseignement pour les questionner sur l'équivalence.
J'ai étudié à distance et obtenu un diplôme, est-il valable pour continuer à étudier ou travailler ?
De la même manière que pour un diplôme obtenu à l'étranger, vous devrez, en fonction de votre objectif (étudier ou travailler) , vous conformez aux mêmes démarches que celles énoncées ci-dessus. Voir aussi notre fiche conseil "Se former à distance, quelles possibilités ?".
